Présent à la conférence de presse d'avant Grand Prix en compagnie de plusieurs pilotes, Lewis Hamilton est revenu sur son mal être à Djeddah, faisant référence à l'incident survenu l'année passé et à la politique du pays.
Accompagné d'Ocon, Magnussen, Stroll, ainsi que Pérez, le pilote britannique a été interrogé, à l'instar de ses compères, sur son retour à Djeddah, 1 an après qu'un missile soit tombé près du circuit lors du Grand Prix.
Si à l'époque, les 20 pilotes avaient affiché leur volonté de ne pas poursuivre le week-end de course, ceux présents devant les médias ont réaffirmé leur confiance auprès de la Formule 1 pour garantir la sécurité du Grand Prix.
Tous, à l'exception de Lewis Hamilton qui a déclaré : “Il n’y a pas grand-chose à ajouter. Tout le contraire de ce qu’ils ont dit".
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Le pilote Mercedes est resté énigmatique sur le sens de ses paroles : ”Je n’ai pas donné de détails. C’est donc une question d’interprétation", a-t-il ajouté avant de poursuivre "J’espère que tout le monde passera un bon week-end et que tout le monde rentrera chez lui sain et sauf".
S'il n'a pas souhaité préciser s'il évoquait la politique du pays ou la sécurité, Lewis Hamilton est revenu sur l'importance de participer au Grand Prix afin de sensibiliser la population locale : “Si je ne suis pas là, la Formule 1 continuera sans moi. Lorsque je me rends dans ces différents endroits, j’ai toujours l’impression qu’en tant que sportif, je dois sensibiliser les gens et essayer d’avoir un impact positif sur les droits de l’homme”.