Présenté il y a quelques mois, le Ford Explorer devait être déployé sur le marché début 2024. Mais patatras, la production du nouveau SUV électrique est retardée de six mois !
Lors de sa présentation en mars dernier, le Ford Explorer électrique avait fait sensation grâce à son style, à ses performances mais aussi de ses gènes partagés avec le groupe Volkswagen. Une grosse nouveauté très importante pour la marque à l'ovale bleu.
Dans la foulée, le constructeur annonçait que son nouveau SUV électrique devait arriver dans les concessions début 2024. Finalement, le Ford Explorer n'est pas prêt d'arriver et accuse déjà un retard de six mois dans sa production.
Pourtant, tout était prêt pour accueillir le SUV électrique sur la chaîne d'assemblage de l'usine de Cologne. En juin, Ford se vantait d'avoir entièrement transformé son site allemand avec un investissement massif de deux milliards de dollars pour être capable de produire des modèles électriques.
La Ford Fiesta, c'est fini !
Selon nos confrères allemands de Kölnische Rundschau, Ford aurait repoussé le démarrage de la production de son Explorer. En cause de nouvelles règles de sécurité concernant le groupe motopropulseur.
Une raison difficile à croire puisque le SUV électrique de Ford emprunte de nombreuses pièces au Volkswagen ID.4, déjà sur le marché depuis plusieurs années…
Résultat, les premières livraisons devraient avoir lieu mi-2024, si ce n'est plus tard.
Ford Explorer, le cousin du Volkswagen ID.4
Pour rappel, le Ford Explorer repose sur la plateforme MEB du groupe Volkswagen. Une base que l'on retrouve sur les ID.3 et ID.4.
Le nouvel Explorer devrait être disponible en version propulsion et en transmission intégrale. Plusieurs motorisations seront proposées, avec la possibilité de choisir des batteries d'une capacité de 52 kWh et 77 kWh.
Côté autonomie, le SUV électrique de Ford devrait revendiquer environ 500 km en une seule charge. Le constructeur précise que l'Explorer peut passer de 10 à 80 % en 25 minutes.
Le SUV électrique devrait débuter sous la barre des 50.000 €, sans toutefois être éligible au bonus écologique.